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La Peste [Texte imprimé]

Autor principal: , Camus, AlbertIdioma: français.País: , Paris Cedex 07.Publicación: 5, rue Sébastien-BottinDescripción: 278 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cmISBN: 978-2-07-036042-0 /.ISSN: 0768-0732.Series: FolioClasificación: LResumen: Première partie. À Oran, un jour d’avril 1904., le docteur Rieux découvre le cadavre d’un rat sur son palier. Il accompagne au train son épouse, qui part se soigner à la montagne. Tandis que d’autres rats affluent dans la ville et agonisent, le concierge du docteur succombe à un mal violent et mystérieux. Les morts vont se multipliant. On ose enfin prononcer le mot: la «peste». Après bien des réticences, les autorités se décident à «fermer» la ville.Deuxième partie. L’enfermement et la peur modifient les comportements collectifs et individuels. Rambert, journaliste parisien séparé de sa compagne, sollicite en vain l’appui de Rieux pour regagner la métropole. Cottard, un représentant qui avait pour des raisons inconnues tenté de se suicider, puise une curieuse satisfaction dans le malheur de ses concitoyens. Grand, employé de mairie, est plus que jamais absorbé à écrire un livre dont il retouche sans cesse la première phrase. Le père Paneloux appelle les fidèles à méditer sur la punition qui leur est envoyée par le Ciel. Tarrou, lui, ne croit qu’en l’homme; avec un tranquille héroïsme, il se met à la disposition de Rieux, imité bientôt par Rambert. Troisième partie. L’été accroît la puissance du fléau. La ville s’organise: on réprime des soulèvements, on enterre à la hâte, on incinère. Sans mémoire et sans avenir, les habitants s’installent dans une résignation qui a chassé tout sentiment d’amour.Quatrième partie. Rambert, à qui s’offrait une chance de quitter la ville, a renoncé à partir: avec Rieux et Tarrou, il luttera jusqu’au bout. L’agonie d’un enfant (le fils du juge Othon) révolte Rieux et jette le trouble dans les certitudes de l’abbé Paneloux, qui meurt bientôt en serrant fiévreusement contre lui un crucifix. Tarrou et Rieux trouvent, dans la tiédeur d’un bain d’automne, une forme de communion amicale. Comment trouver la sainteté sans Dieu? s’interroge Tarrou. L’hiver arrive. Et voici que Grand.
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Texte Texte Mediateca de la Alianza Francesa de Caracas 2 Disponible 012412
Texte Texte Mediateca de la Alianza Francesa de Caracas e.1 Disponible 003340

Première partie. À Oran, un jour d’avril 1904., le docteur Rieux découvre le cadavre d’un rat sur son palier. Il accompagne au train son épouse, qui part se soigner à la montagne. Tandis que d’autres rats affluent dans la ville et agonisent, le concierge du docteur succombe à un mal violent et mystérieux. Les morts vont se multipliant. On ose enfin prononcer le mot: la «peste». Après bien des réticences, les autorités se décident à «fermer» la ville.Deuxième partie. L’enfermement et la peur modifient les comportements collectifs et individuels. Rambert, journaliste parisien séparé de sa compagne, sollicite en vain l’appui de Rieux pour regagner la métropole. Cottard, un représentant qui avait pour des raisons inconnues tenté de se suicider, puise une curieuse satisfaction dans le malheur de ses concitoyens. Grand, employé de mairie, est plus que jamais absorbé à écrire un livre dont il retouche sans cesse la première phrase. Le père Paneloux appelle les fidèles à méditer sur la punition qui leur est envoyée par le Ciel. Tarrou, lui, ne croit qu’en l’homme; avec un tranquille héroïsme, il se met à la disposition de Rieux, imité bientôt par Rambert. Troisième partie. L’été accroît la puissance du fléau. La ville s’organise: on réprime des soulèvements, on enterre à la hâte, on incinère. Sans mémoire et sans avenir, les habitants s’installent dans une résignation qui a chassé tout sentiment d’amour.Quatrième partie. Rambert, à qui s’offrait une chance de quitter la ville, a renoncé à partir: avec Rieux et Tarrou, il luttera jusqu’au bout. L’agonie d’un enfant (le fils du juge Othon) révolte Rieux et jette le trouble dans les certitudes de l’abbé Paneloux, qui meurt bientôt en serrant fiévreusement contre lui un crucifix. Tarrou et Rieux trouvent, dans la tiédeur d’un bain d’automne, une forme de communion amicale. Comment trouver la sainteté sans Dieu? s’interroge Tarrou. L’hiver arrive. Et voici que Grand

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